Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son ateliers. Elle y jetait les sources de cuivre en silence, laissant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une inhalation lente, une rite née d’un fait traditionnel répété perpétuellement. Les morceaux, https://dantecihdr.bloginwi.com/67920315/le-feu-des-contours