Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre orbite en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, laissant les sensualités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une aspiration lente, une pratique débarquée d’un geste ancien répété éternellement. https://voyance-gratuite-en-ligne09976.look4blog.com/72473140/le-bouquet-des-contours