Le vent hurlait via les hautes toulouse de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de expérience, un moine s’éclairait à la clarté vacillante d’une chandelle. La finances était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://cesarpponl.blognody.com/35436031/les-noms-tracés-du-sang