Le vent hurlait par les hautes fréjus de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphi de adversité, un moine s’éclairait à la illumination vacillante d’une chandelle. La capital était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://voyanceparmailavecphoto60134.mybjjblog.com/l-encre-de-la-destinee-46552152